Végétarisme et religions...
Dresser un tableau exhaustif de l'influence des religions sur notre alimentation serait un véritable travail de bénédictin dont je n'ai ni les compétences, ni le savoir. On peut néanmoins légitimement se poser la question de notre supposée indépendance, que l'on soit croyant ou athée, quant à la religion dans laquelle nous baignons en permanence: rappelons que, en 2020, notre beau pays comptait quelques 38 millions de chrétiens, religion dominante, suivie par l'Islam (5,4 millions) le judaïsme (350 000) et le bouddhisme (340 000) (Sources: Statista: 1)
Des éléments de réponse sont néanmoins accessibles à tout un chacun et permettent de mieux appréhender ce déterminisme qui nous façonne malgré nous et explique en partie les origines de ce fameux paradoxe de la viande (2) dont nous (pardon: vous) sommes (êtes) victimes.
S'il fut un âge d'or où l'homme souhaitait entretenir des relations sereines avec les autres animaux, l'avènement des religions monothéistes a mis un peu désordre dans cette harmonie...
Tout avait pourtant plutôt bien commencé...
● Premier épisode: l'Âge axial...
Cette période, située entre - 800 et -200 ans avant l'ère chrétienne et nommée Âge axial par le philosophe Karl Jaspers ou encore axe historique par Anna Harendt (3) aurait été un âge d'or marqué par une réflexion commune « simultanément et de façon indépendante, en Chine, aux Indes, en Perse, en Palestine, en Grèce » (3). Et les droits des animaux(entendus dans le sens où « exploiter et tuer des animaux pour notre profit est immoral et devrait être contraire aux lois et condamné par la société » : Norm Phelps, 4) en auraient grandement bénéficié.
Pour Anna Harendt, «Toutes les catégories fondamentales de notre pensée et tous les principes fondamentaux de nos croyances furent créés au cours de cette période » (3). Ce fut une période féconde durant laquelle «Les anciens sages qui ont créé nos conceptions morales appliquaient une seule norme éthique globale et cohérente aux êtres humains et aux animaux non-humains fondée sur la sentience, ou plus précisément, sur la capacité à souffrir. Les droits des animaux et les droits des humains étaient, à l'origine, les applications strictement égales d'un même principe. » (Norm Phelps, 4).
On peut se montrer nostalgique d'une telle période lorsque l'on allume sa radio le matin...
Épisode 2: perpétuation de cet âge d'or dans les religions orientales.
Cette norme éthique et le respect de la vie des animaux-non-humains n'ont pas totalement disparu et se retrouvent dans l'hindouisme, troisième religion au monde (5), le bouddhisme (6) et le jaïnisme (7), bien qu'avec des motivations diverses.
Dans Sur la religion, paru en 1851, Arthur Schopenhauer met ainsi en avant la supériorité des religions orientales à cet égard. (8). S'il ne se déclarait pas ouvertement bouddhiste, il en « chérit la pensée et la sagesse » (8)
Le cas de cette « religion » - la 4ème en France - m'est particulièrement familier et me semble intéressant dans la mesure où il divise ses adeptes, pour des raisons qui méritent que l'on s'y attarde un peu.
Si les bouddhistes chinois et vietnamiens sont en effet strictement végétariens, il n'en est pas de même pour les Tibétains, dont le bouddhisme chatoyant nous est peut-être plus connu, et l'on peut se demander pourquoi une « religion » qui prône la non-violence et la compassion envers tous les êtres autoriserait une nourriture carnée. C'est que les très hautes altitudes auxquelles vivent les Tibétains ne favorisent en fait pas vraiment le maraîchage et sont au contraire favorables à l'élevage, ce qui a amené les populations de ces hauts plateaux à « vivre de leurs troupeaux » (6). Et les traditions sont tenaces, et la viande chère à l'estomac des tibétains... Mais « un changement d'habitudes semble se produire » et « de plus en plus de monastères, dont Namgyal Dratang que dirige Sa Sainteté le Dalaï Lama, n'autorisent plus la préparation de viandes dans leurs cuisines. » (9 p.17).
Étant bouddhiste, j'ai eu l'opportunité de poser directement la question aux responsables du centre Karma Migyur Ling - autrement dit, Le jardin immuable de l'activité - à proximité de Grenoble et un autre élément de réponse m'a été donné, d'une logique toute bouddhiste par son pragmatisme: la production d'une nourriture végétale dont se nourrit un végétarien entraîne la mort de milliers d'insectes, alors qu'un carnivore est finalement responsable de la mort de beaucoup moins d'animaux d'élevage. Or, pour un bouddhiste, la vie d'un insecte ou d'un autre animal, quel qu'il soit, se valent...
Dessin La réincarnation...: Philippe Geluck
Mais le Dalaï Lama reste clair à cet égard: « en général, mieux vaut être végétarien. » (10p.116)
Épisode 3: l'avènement des religions monothéistes...
Ou la fin des haricots, comme disait Simone (Simone, c'était ma mère)...
Dans les religions monothéistes qui ont modelé nos sociétés, les animaux étaient en effet l'objet d'une attention particulière...
Regardons ce que dit la Bible, texte fondateur d'un judéo-christianisme qui a accompagné le développement de notre civilisation occidentale.
Dans la tradition juive, les premiers hommes étaient végétariens (11) . La partie de la Bible décrivant la Création, le dit explicitement:
« 1. Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. (...) 29. Dieu dit : « Je vous donne toutes les herbes portant semence, qui sont sur toute la surface de la terre, et tous les arbres qui ont des fruits portant semence: ce sera votre nourriture. (...) 30. À toutes les bêtes sauvages, à tous les oiseaux du ciel, à tout ce qui rampe sur la terre et qui est animé de vie, je donne pour nourriture toute la verdure des plantes. » Et il en fut ainsi. 31. Dieu vit tout ce qu'il avait fait : cela était très bon. Il y eut un soir, il y eut un matin : sixième jour.» (Genèse 1-30/ 12 p.33-34).
Mais tout s'est gâté après le Déluge...
Résumé des épisodes précédents: voyant tout le mal que l' Homme fait sur la terre, Yahvé regrette sa création et décide de la faire disparaître, avec tous les animaux, en noyant la Terre sous un Déluge (Genèse 6.5-13/12 p.39). Seul Noé, juste et intègre, sera sauvé avec sa femme, ses fils et des couples de tous les animaux, et devra construire pour cela une arche... (Genèse 7.1-5/12 p.39).
Et c'est là que les ennuis commencent véritablement pour les animaux...
Noé, plutôt content de s'en tirer à si bon compte, les sacrifie dès sa sortie de l'arche en les offrant « en holocauste sur l'autel » (Genèse 8.20/12 p.41). (À l'origine, un holocauste était une forme de sacrifice dans laquelle les animaux vidés de leur sang et apprêtés étaient entièrement brûlés: 13 p.85). Dieu décide alors d'offrir comme nourriture les animaux à l'homme et les exhorte à des manières peu accortes: « 2. Soyez la crainte et l'effroi de tous les animaux de la terre et de tous les oiseaux du ciel, comme de tout ce dont la terre fourmille et de tous les poissons de la mer: ils sont livrés entre vos mains. 3. Tout ce qui se meut et possède la vie vous servira de nourriture, je vous donne tout cela au même titre que la verdure des plantes. » (Genèse 9.2-3/12 p.41)
« la crainte et l'effroi »... Je vous laisse apprécier.
En outre, il aurait été malvenu de refuser cette nourriture carnée, la Bible, là aussi, est explicite: « 7. J'entendis alors une voix me dire: " Allons, Pierre, immole et mange. " Je répondis: " Oh non ! Seigneur, car rien de souillé ni d'impur n'entra jamais dans ma bouche ! " 9.Une seconde fois, la voix reprit du ciel: "Ce que Dieu a purifié, toi, ne le dis pas souillé. " » (Nouveau Testament, Actes des Apôtres, 11.7-9 /2 p. 1859)
Et quelques pages plus loin : « « 1. À celui qui est faible dans la foi, soyez accueillant sans vouloir discuter des opinions. 2. Tel croit pouvoir manger de tout, tandis que le faible ne mange que des légumes » (Épître aux Romains 14.2-3, Nouveau Testament / 12 p. 1914)
Ben voilà, c'est dit: le végétarien fait montre d'une faiblesse dans sa foi...
Fait intéressant, Massimo Montanari, professeur d'histoire médiévale et d'histoire de l'alimentation à l'université de Bologne voit dans cet épisode un « tournant radical opéré par le christianisme par rapport à la tradition juive » (11).
On me dira que de nombreux chrétiens, particulièrement dans la culture monastique, se sont abstenus et s'abstiennent encore de consommer de la viande. Mais contrairement à la tradition juive, « Il ne s'agit plus (...) de refuser quelque chose d'objectivement « impur », et donc immangeable, mais de renoncer à quelque chose qui est au plus haut point désirable. » : c'est une pratique d'humilité qui engendre donc des mérites (11) et permet « d'affaiblir le corps et de dompter les passions » (13 p. 80).
Bref, ça compte pas trop aux yeux des végétaliens purs et durs...
Pour un esprit rationnel, ce passage subit d'une alimentation végétarienne à une alimentation carnée pose évidemment question...
Pour certains « commentateurs juifs » , il est bien possible que l'homme consommait déjà des animaux malgré « l'interdit divin »: Dieu n'aurait donc, après le Déluge, qu' « autorisé une pratique qui était déjà en usage. » (13 p.82). Pour d'autres, consommer de la viande aurait été une nécessité « puisque le Déluge avait détruit momentanément la vie végétale » (13 p.83). D'autres encore pensent qu'Adam n'était pas végétarien... Du côté des exégètes chrétiens, diverses interprétations sont avancées, aucune ne m'ayant, je l'avoue, convaincu. Je ne vous les raconterai donc pas, mais vous pouvez les retrouvez dans l'excellent ouvrage de Renan Larue, Le végétarisme et ses ennemis (13 p.83).
Le mal est fait... Mais l'on doit néanmoins concéder à la religion juive un relatif souci du bien-être animal: s'il est permis de consommer de la viande, « cette pratique est sévèrement encadrée par les règles de la cacherout, la loi alimentaire, et de la shehita, l'abattage rituel. ». Relatif car nous savons parfaitement aujourd'hui les souffrances qui sont liées à l'abattage rituel, qu'il soit d'ailleurs casher (pour les juifs) ou halal (pour les musulmans), particulièrement lorsqu'il est pratiqué sans étourdissement (14, 15, 16), ce qui doit être le cas dans la « loi juive »: « These methods [methods of attempting to render an animal or bird unconscious prior to slaughter (...) : captive bolt gun, electric shock] are contrary to Jewish law, because an animal intended for food must be healthy and uninjured at the time of shechita. » (17) comme d'ailleurs pour les musulmans : « Il faut qu'il soit conscient, donc non étourdi » (18).
Non contents d'être consommés, les animaux étaient aussi amplement soumis à la pratique des sacrifices: « Dans les cultures méditerranéennes, c'est la pratique du « sacrifice » qui a prévalu : elle permet de tuer des animaux en ritualisant le geste, et en transposant sa signification sur le plan du sacré. » (11)
Bref, être croyant et végétarien semble une équation difficile à résoudre et comme le disait Victor Hugo, grand défenseur des animaux: « L'enfer n'existe pas pour les animaux, ils y sont déjà... » (19)
Ces critiques ne sont pas nouvelles et n'ont pas attendu le mouvement végane (rappelons que le mot vegan est de facture récente puisque, créé en 1944 par Donald Watson, il apparait pour la première fois en page 2 du premier numéro du petit journal, The Vegan News. Quarterly magazine of the non-dairy vegetarians (20).)
- Voltaire, en son temps, fustigeait déjà ceux qui remercient le Seigneur pour de telles horreurs : « Enfin, il n'est que trop certain que ce carnage dégoûtant, étalé sans cesse dans nos boucheries, ne nous paraît pas un mal, au contraire, nous regardons cette horreur, souvent pestilentielle, comme une bénédiction du Seigneur et nous avons encore des prières dans lesquelles on le remercie de ces meurtres. Qu'y a-t-il pourtant de plus abominable que de se nourrir continuellement de cadavres ? » (Il faut prendre un parti, 1775: 21 p.10) .
Végétarien occasionnel par raison de santé, cela ne l'empêchera pourtant pas de régaler ses hôtes conviés dans sa résidence de Ferney de viandes et de poissons achetés en « quantités considérables » (22).
- Quelques années plus tard, le philosophe Arthur Schopenhauer se montre lui aussi très critique à l'égard de la religion: « le grand responsable des malheurs des animaux en Occident est le « judéo-christianisme » qui ne reconnaît pas, comme le font les sagesses indiennes, l'évidente affinité de l'homme avec la nature toute entière et particulièrement avec les animaux. » (8).
Il ne se prive pas de fustiger « la scélératesse avec laquelle notre populace chrétienne se comporte à l'égard des animaux » (Sur la religion. Paralipomena, § 174-182, cité par Renan Larue: 13 p.80) et en trouve aussi l'origine dans les chapitre 1 et 9 de La Genèse (8, 12).
● Vers des temps plus cléments
La Bible laisse néanmoins espérer des temps à venir plus cléments pour les animaux avec le retour à un régime végétarien: « 06 Le loup habitera avec l'agneau, la panthère se couchera avec le chevreau. Le veau, le lionceau et la bête grasse iront seront ensemble, conduits par un petit garçon. 07 La vache et l'ourse paîtront, ensemble se coucheront leurs petits. Le lion, comme le bœuf, mangera de la paille. » (Isaïe 11.6-7, Ancien Testament / 12 p.1244)
Force est de constater que nous n'en sommes pas encore arrivés à ce moment de notre histoire...
● Les mentalités évoluent pourtant
Dans une interview accordée le 7 février 2021 à France Inter, Pauline Bebe, première femme rabbin en France, déclarait: « Le degré le plus élevé de ce qu'on appelle la cacherout, c'est-à-dire les lois alimentaires, c'est d'être végétarien et j'ajouterai même, peut-être, dans un monde industriel, ça pourrait être végane. Parce que manger des produits animaux aujourd'hui, c'est aussi, d'une certaine manière, mettre en danger les animaux. » (23: 25'30''-25'50'') ».
Bon, cette femme rabbin fait figure d'OVNI dans ce milieu très conservateur (24), mais cette voix est importante dans notre monde en quête de repères.
Du côté des cathos également, ça bouge et un mouvement de catholiques aspirant à une alimentation dont est exclu le meurtre des animaux pointe le bout de son missel. J'en veux pour preuve l'existence de l'association internationale F.R.A., Fraternité pour le Respect Animal, fondée en 2004 et « composée majoritairement de prêtres et de laïcs au sein des églises Chrétiennes qui souhaitent promouvoir le débat sur l'Animal au sein de leur Église. (...) Son action se veut être fédératrice et réprésentatrice de tout combat pour la gente animale au sein de l'Eglise Catholique. » (25).
Après 2000 ans d'asservissement de l'animal, il était temps...
Enfin, la communauté musulmane également s'intéresse à cette question et certains juristes musulmans « reconnaissent que l'on peut être musulman et végétarien » (26) dans la mesure où l'on ne prétend pas que manger de la viande serait un interdit et où l'on ne cherche pas à se grandir à travers ce choix.
Les musulmans véganes soulignent que « les érudits du courant traditionnel s'accordent à dire qu'il est légitime de témoigner de la compassion aux animaux et de les épargner - dès lors que l'on envisage le véganisme comme un choix personnel et non comme une obligation morale, une exigence de la foi. » (26, p. 468). Ce qui va dans le sens d'un principe moral fondamental dans la religion musulmane - rahma - qui « englobe les notions de compassion, de pitié, de bonté et de bienveillance. » (27, p. 463).
« La seule « violence légitime » permise contre les musulmans non humains est celle que l'on commet lorsqu'il n'y a plus guère d'autres moyens de soutenir sa vie. » . Ce qui ramène donc la chasse de loisir au rang de « violence illégitime » (27, p. 469)
● Libre-arbitre ou déterminisme religieux ?
On peut évidemment se poser cette question fondamentale: notre libre-arbitre ne nous permet-il pas de nous affranchir du poids des religions et sommes-nous l'objet d'un déterminisme socio-culturel et religieux ?
On sait la réponse de Spinoza, pour lequel le libre-arbitre n'est qu'une illusion: «En réalité pas de choix se présente à moi, un enchaînement de causes me mène à réaliser une action. » (Lettre 58 à Schuller, 1674: 28 )
Pour Vincent Moriniaux - spécialiste de la géographie de l'alimentation - « ces interdits et célébrations de la table venus du fond des âges restent vivaces, même lorsque les conditions agronomiques et économiques ont changé, même lorsque la pratique religieuse a décliné. » (29 p. 13). Il note que la religion a ainsi façonné nos habitudes alimentaires : « L'identité gastronomique de telle ou telle région doit ainsi parfois à la religion. » (29 p. 14), allant même jusqu'à influencer les échanges internationaux : « A l'échelle mondiale, (...) on observe des flux de produits alimentaires, engendrés par les coutumes alimentaires religieuses de tel ou tel pays. » (29 p.15). Il note ainsi que « le lien religion-alimentation peut avoir des conséquences économiques importantes. » aujourd'hui encore (29 p. 15)...
● Épilogue
S'il parait donc bien difficile d'échapper à ce déterminisme, on peut en prendre conscience et se prémunir contre ses effets. C'est ce qu'ont fait beaucoup de croyants en montrant que le végétarisme n'allait pas à l'encontre des prescriptions religieuses, mais au contraire mettait en application le message de compassion qu'elles sont censé prêcher.
☞ Idées lectures:
- Renan Larue: Le végétarisme et ses ennemis. Vingt-cinq siècles de débats (13).
- Vincent MORINIAUX: Les religions et l'alimentation (29).
Sources:
1- Statista
Répartition de la population selon la religion en France en 2020
• Population française selon la religion France 2020 | Statista
https://fr.statista.com/statistiques/472017/population-religion-france/
2- Estiva Reus et Frédéric Dupont
La paradoxe de la viande.
Comment peut-on ne pas être végétarien ?
Cahiers antispécistes n°35
https://www.cahiers-antispecistes.org/wp-content/uploads/IMG/pdf/ParadoxeViande-CA35.pdf
3- Lieux Communs
La période axiale de l'histoire universelle
K.Jaspers et H.Arendt
https://collectiflieuxcommuns.fr/?420-la-periode-axiale-de-l-histoire
4- Norm PHELPS
(militant américain des droits des animaux. Il est membre de l'Institute for Critical Animal Studies (ICAS) et membre fondateur de la Society of Ethical and Religious Vegetarians (SERV))
Où nous sommes dépend de là d'où nous venons
Les origines du clivage bien-être animal / droits des animaux
Cahiers antispécistes n°36 - septembre 2014
https://www.cahiers-antispecistes.org/wp-content/uploads/IMG/pdf/cahiers-36-phelps.pdf
5- Daniel MAYER
Hindouisme et végétarisme
Swissveg, 28.12.2016
Hindouisme et végétarisme | Swissveg
https://www.swissveg.ch/hindouisme?language=fr
6- Matthieu RICARD
Bouddhisme et végétarisme
Blog, 20 octobre 2017
Bouddhisme et végétarisme - Matthieu Ricard
https://www.matthieuricard.org/blog/posts/bouddhisme-et-vegetarisme
7- Jean NAKOS
Le jaïnisme et les animaux
Cahiers antispécistes n°32 - Mars 2010
Le jaïnisme et les animaux - Les Cahiers antispécistes
https://www.cahiers-antispecistes.org/le-jainisme-et-les-animaux/
8- Jean NAKOS
Arthur Schopenhauer et l'évidente affinité de l'homme avec les animaux
Cahiers antispécistes n°34 - Janvier 2012
Arthur Schopenhauer et l'évidente affinité de l'homme avec les animaux - Les Cahiers antispécistes
9- SHABKAR
Les larmes du bodhisattva
Enseignements bouddhistes sur la consommation de chair animale
Éd. Padmakara, 2005
10- Sa Sainteté de DALAÏ-LAMA
Comment pratiquer le bouddhisme
Éd. Plon, 2002
11- Massimo MONTANARI
Les chrétiens et la viande
L'Histoire, mensuel 440 daté octobre 2017
https://www.lhistoire.fr/les-chrétiens-et-la-viande
12- La Bible
La Bible de Jérusalem
Éditions du Cerf, 1998
13- LARUE R.
Le végétarisme et ses ennemis. Vingt-cinq siècles de débats.
Éd. Presses Universitaires de France, 2015.
14- L214
Abattage rituel: avec ou sans étourdissement ?
Abattage rituel : avec ou sans étourdissement ? | Éthique et animaux
https://www.l214.com/abattage-rituel-avec-ou-sans-etourdissement
15- Stéphane LE BARS
Violente charge du consitoire juif contre "la stigmatisation" de la viande casher
(Blog Digne de foi)
Le Monde, 21 juillet 2013
Violente charge du consitoire juif contre "la stigmatisation" de la viande casher
16- Henri PEÑA-RUIZ
Chronique intempestive : souffrance animale, vivement l'Europe laïque !
Marianne.net, 06/10/2020
Chronique intempestive : souffrance animale, vivement l'Europe laïque !
https://www.marianne.net/agora/humeurs/
17- Chabad.org
What's Wrong with Stunning ?
What's Wrong with Stunning? - Kosher
https://www.chabad.org/library/article_cdo/aid/222246/jewish/Whats-Wrong-with-Stunning.htm
18- Vigilance Halal
Comment se pratique l'abattage Halal ?
Comment se pratique l'abattage halal ? | Vigilance Halal
https://vigilancehallal.com/comment-se-pratique-labattage-halal/
19- DECAUX A.
Victor Hugo, une voix pour les animaux
OABA, Œuvre d'Assistance aux Bêtes d'Abattoirs
Bulletin n°62 , années 2011
https://www.oaba.fr/pdf/OABA_AG2011_web.pdf
20- WATSON, D.
The Vegan News
Quarterly magazine of the non-dairy vegetarians.
N° 1, novembre 1944
The Vegan News 1944 by The Vegan Society - issuu
https://issuu.com/vegan_society/docs/the_vegan_news_1944
21- Renan Larue
Voltaire. Pensées végétariennes
Éd. Mille et une nuits
22- Renan Larue
Le végétarisme dans l'œuvre de Voltaire (1762-1778)
Dix-huitième siècle, 2010/1 (n° 42), p. 19-34.
Cairn.Info:
Le végétarisme dans l'œuvre de Voltaire (1762-1778) | Cairn.info
https://www.cairn.info/revue-dix-huitieme-siecle-2010-1-page-19.htm#re6no6
23- France Inter
Dorothée BARBA
BARBATRUC, dimanche 7 février 2021
La Torah expliquée aux enfants: L'Arche de Noé
https://www.franceinter.fr/emissions/barbatruc/barbatruc-07-fevrier-2021
24- François DEVINAT
Pauline Bebe. La rabbine par qui le scandale arrive
Libération, 4 mai 1995
Pauline Bebe. La rabbine par qui le scandale arrive - Libération
25- F.R.A.
Qui sommes-nous / Historique
Historique - F.R.A.
https://fra-respect-animal.org/presentation
26- Religioscope
Islam: une organisation de végétariens musulmans
PAR RELIGIOSCOPE, 3 MAI 2004
https://www.religion.info/2004/05/03/islam-une-organisation-de-vegetariens-musulmans/
27- Ghazala ANWAR
Raham (précepte de l'Islam)
La pensée végane, pp.463-477
Éd. PUF, 2020
28- Philocite.eu
Texte 2 - Liberté ou déterminisme ?
https://www.philocite.eu/blog/wp-content/uploads/2017/11/BSpinoza_LettreLVIIISchueller.pdf
29- Vincent MORINIAUX
Les religions et l'alimentation
Vincent Moriniaux. Nourrir les hommes, Editions du Temps, pp.39-67, 2008